Mes débuts - soirée amicale

Catégories : Rencontres BDSM
il y a 5 ans

J'ai bien progressé. Et je suis ravie d'avoir augmenté mes connaissances grâce à l'inflexibilite de Monsieur. Il m'a dit que ce soir nous passerions le diner avec des invités. Bien qu'excitée j'appréhende, je ne veux pas décevoir Monsieur.

Parée de la magnifique robe, echancree dans le dos jusqu'à la naissance de ma raie, qu'il m'a fait apporter par colis, du collier couvrant légèrement le décolleté, d'une paire de boucles d'oreilles en formes de gouttes perlees.

Monsieur m'ouvre la porte. Il semble ravi de la tenue. Lui est dans un superbe costume trois pièces. Il est si beau que j aimerais l'embrasser mais ce serait déplacé. Il fait tournoyer son dos, je pivote. Il place sa main sur mon sein et m'attire à lui. Son membre dur contre mes fesses, j'adore sentir l'effet que je lui procure. J'en mouille et il s'en rend vite compte, sa main s'assurant de ma nudité sous le jupon. Il suspend sous mon nez une petite culotte a affublée de deux godes:

  • Enfile ça.

Je lubrifie avec application mon anus.

Je remonte le sous vêtement, insère le gode le plus fin dans mon cul tandis que le plus gros emplit mon sexe.

Monsieur serre les sangles au maximum. Mes deux orifices remplies je suis prête à recevoir les convives.

On sonne à la porte. J'invite deux inconnus à entrer. L'un est grand et costaud, l'autre est un petit peu plus frêle. Monsieur me les présente: Eric et François. Le troisième convive n'est autre que le beau brun du café Marc.

Il me reconnait aussitôt et me cueille d'un sourire avec sousentendus.

Je lui rend son sourire, il me fait littéralement craquer... Monsieur tousse. Je suis rappelé à l'ordre. Je retourne à la cuisine. A chaque pas, les frottements de ces foutus plastiques me font suinter du vagin et du cul.

J'espère que ça ne se voit pas à travers ma robe, sinon je vais avoir l'air fine. Monsieur me tend le plateau de verres que j'apporte aux invités.

Soudain en me dirigeant vers eux, une indicible sensation de plaisirs me gagne. Je m'arrête un instant, me contient et reprend mon service.

Les deux derniers invités se font attendre. Monsieur propose de prendre place autour de la table pour les faire venir. A peine assis, la sonnette retentit a nouveau. Je n'ai même pas eu le temps de deposer le plateau.

J'ouvre donc aux derniers arrivés, j'en fait tomber le plateau: Max et Justine!

Monsieur me rejoint:

  • Que fais-tu? Acceuille les comme il se doit. Ensuite tu me ramasses tes catastrophes. Inutile de te dire que tu seras punie.

  • Oui Monsieur.

Justine me présente ses hommages. Bizarre, pas un mot de Max même désobligeant alors que je me retrouve à genoux a ramasser les morceaux. La jupe remonte un peu de temps à autres.

Je tire un peu dessus de peur que l'on puisse entrapercevoir les godes glisser dans mes orifices au rythme de mes mouvements. Je contienw un deuxième spasme. En fait la peur de me faire chopper intensifie leurs effets, je suis très excitée.

Lorsqu'enfin je pus m'asseoir, j ai eu un instant de doute mais je n'avais pas vraiment le choix. Je m'assieds donc, le doigt anal s'infiltrant un peu plus loin dans mon orifice. Ouch!

Le repas se passe plutôt bien. Monsieur influence les thèmes abordés des débats et semblent apprécier mes interventions. J'ai contredis l'un de ses amis appuyé d'un argument bien senti sur une des nouvelles politiques budgétaires mise en place par le gouvernement. Monsieur me fait un clin d'oeil d'approbation.

J'apprendrai plus tard qu'il n'était pas vraiment de mon avis et que cela lui importait peu tant que je suis capable d'argumenter. Je me sens intelligente et je le lui dois.

Monsieur lors de la conversation a remonté un peu ma jupe. A son ordre j'écarte un peu les cuisses. Max en face de moi écarquille les yeux. Il n'a pas moufte de la soirée. Je rougis honteuse de lui dévoiler ainsi ma perversion. Justine amusée défait la braguette de Max et sort son sexe. Ce dernier a l'air d'être confiné dans une sorte de cage.

Les autres n'ont pas l'air de se rendre compte de ce qui se trame sous la table.

A quoi jouent Justine et Monsieur? Ont-ils tout manigance ensemble?

Monsieur remonte ma jupe plus haut, appuie sur la ceinture enfonçant un peu plus le gode dans mon con.

Le salaud s'il continue, remplie ainsi, je vais avoir un orgasme au beau milieu du dessert. Max déglutit son malaise. Heureusement pour moi Monsieur calme ses ardeurs et m'intime de servir le café.

Honteuse, la cyprine ayant coulé sur mes cuisses, je me résous à me lever.

Aucune attention m'est portée. Ouf!

A la cuisine je fais couler le café. J'en profite également pour me laisser aller à mes pulsions. Je ne résiste plus. Ma main presse sur la ceinture tandis que mon bassin ondule d'avant en arrière. Je me cale l autre main posée sur le plan de travail. L'orgasme ne tarde pas. Je me mords la langue, étouffe mes petits cris.

  • Belle prestation!

Marc! Oh Zut! Je rabat aussitôt ma robe, simule une assurance.

  • Ne soyez pas gênée, vous avez été magnifique! J'aurais aimé vous filer un coup de main.

  • Je... Je...

  • Rassurez-vous, cela restera entre nous. Ton maître n'en saura rien. Je ne voudrais pas t'apporter d'ennuis.

  • Il n'est pas encore mon...

  • Oh si il l'est, crois-moi.

  • Et vous, vous avez...

  • Une petite salope dans ton genre? Bien sûr. J'en ai trois si tu veux tout savoir. Que veux-tu? J'adore les femmes et je n'arrive pas à me restreindre. Tout le contraire de ton maître. Lui serait plutôt du type "monogame".

Je suis soulagée d'avoir la confirmation d'être la seule de Monsieur.

Marc prend une bouteille de digestif dans le meuble et retourne s'asseoir.

Je le suis avec la cafetière.

Les cafés et les digestifs ingurgités, Eric et Francois sont les premiers à prendre congé.

Marc salue Max, Justine. Il s'approche de moi, m'embrasse sur les joues:

  • Tu me fais beaucoup d'effet. Si tu n'étais pas déjà en main...

  • Merci.

  • Je garderai en mémoire notre petit secret.

Il s'approche de Monsieur:

  • On s'appelle?

  • Sans faute.

Monsieur ferme la porte derrière lui:

  • Nous voilà enfin seuls.

Justine s'adresse immédiatement à Marc:

  • Retire ton pantalon.

Marc défait son jean. Il ne porte pas de caleçon.

  • Regardez le donc ce pauvre chou. Impossible pour lui de bander! Tu veux que je te libère, n'est ce-pas?

  • Oui, oui Maitresse.

  • Tu as oublié. Je t'ai interdit de parler pour la soirée! Tu vas morfler trou du cul!

Monsieur intervient:

  • Je dois également infliger une punition à ma soumise. Et si nous leur faisions partager la punition?

  • Pourquoi pas.

  • Allez tous les deux, mains sur la table cul tendu!

Max et moi on se regarde. Il ne semble pas plus à l'aise que moi. Toutefois nous obéissons. Je n'ai jamais eu de relations sexuelles à plusieurs, et je ne tiens pas vraiment à en avoir. Je ne suis pas une de ces filles délurées et prêtes à toutes les excentricités.

Me voilà prête à recevoir une correction au côté de mon ex.

Les deux martinets flagellent nos fessiers de concert.

Max réprime ses cris, à l'inverse de moi.

A chaque coup je pousse un bref cri aigu. Autant par la douleur que par les godes s'activant dans mes entrailles.

Au dixième les coups s arrêtent.

Justine touche deux mots a voix basse a Monsieur et fait asseoir Max sur une chaise jambes écartées.

Monsieur me relève et me retourne face à Max. Il se place derrière moi et me libère de ma ceinture.

  • Ecarte les jambes!

Il offre ma vulve aux yeux de Max.

Justine s'adresse à nouveau à Max:

  • Regarde petit salopiau. Regarde bien!

Monsieur frotte son index sur mon clitoris. Je me cambre. J'ai honte mais je ne contrôle plus rien. Je suis à sa merci. Il glisse deux doigts dans ma fente, entame un va et vient. Justine s'amuse à avilir Max:

  • Tu vois. Lui, il sait y faire. Regarde la salope qu'elle est devenue. Tu n'as jamais pu obtenir cela d'elle, n'est-ce pas? Ca t'excite. Tu voudrais bander mais tu ne peux pas, n'est-ce pas?

Je dois bien avouer que l'entendre intensifie mes envies.

Suis-je devenue ainsi, une chienne prête à tous les vices ?!?

Monsieur me rend dingue. J'ai envie de sa queue. Mais pas devant eux, pas comme cela. Il me balance:

  • Demande-le moi. Je sais ce que tu veux demande-le moi.

  • Non, pas comme ça. Je vous en supplie.

Il augmente la cadence de ses doigts. Je suis à bout:

  • Je vois en supplie!!! Arrêtez!!!

Pour dire vrai, je ne veux surtout pas qu'il s'arrête.

  • Demande-le moi!

  • Non... Oui...

  • Ne te fais pas prier salope!

  • Je n en peux plus! Baisez-moi!

  • Non. Dis-moi ce que je veux entendre sale chienne!

Il enfonce un doigt dans mon oignon.

  • Oooh ouiii! Enculez-moi! Enculez-moi fort!

Il me retourne sur la table, accompagne son majeur de son index et me branle le cul sans vergogne.

Je tourne la tete vers Max. Il souffre lui aussi sous sa cage, se massant les couilles.

Je deviens folle.

Justine libère Max. Son sexe gonfle. Il coulisse frenetiquement le membre tandis que Monsieur s'évertue dans mes profondeurs.

L'orgasme me gagne dans un cri de delivrance tandis que Max éjacule sur le carrelage.

Monsieur me retourne à nouveau. Je suis pantelante dos à la table. Il me soulève et m'y fait asseoir.

Il passe derrière, vient jusqu a moi et écarte mes cuisses avec vigueur et me branle a nouveau. Je n'en ai pas envie, pourtant je me laisse totalement faire incapable de résister.

Justine remet le moineau de Max en cage:

  • Regarde, tu as encore tout sali. Si tu ne sais pas te contrôler, je ne suis pas prete de lui rendre la liberté, à ton ptit machin! Allez nettoie moi ça et regarde moi bien.

Je suis a nouveau en train de gemir sous les doigts experts de Monsieur.

Il coince ses mains sur mes cuisses pour me les écarter un peu plus.

Justine approche son visage et depose un premier baiser sur mes levres inferieures.

Non je ne suis pas lesbienne. Je ne veux pas mais je ne dis rien encore dans le brouillard de mon precedent orgasme. Je sens cette langue fine titiller mon clitoris, s inserer lentement dans mon vagin en tournoyant sur chaque sillon.

Elle sait y faire. Je me fais bouffer la chatte par une gouine et j adooorrrrreee!

Je lui pousse la tête avec mes mains. Monsieur me rappelle à l ordre, je la relâche. Il m'attrape sous les cuisses et me releve le cul façon grenouille.

La langue de Justine passe de ma moule à mon oignon qu'elle effeuillette couche après couche. Des larmes de plaisir coulent le long de mes joues. C est la première fois que ca m arrive.

Mon cul est devenue une offrande aux Dieux. Il mouille comme jamais. Mon sphincter se dilate et se contracte sous la langue experte. Elle s'enfonce dans la cavité. Je me fait enculer par un muscle visqueux et baveux. Je tremble de bonheur. Mais Justine ne s arrête pas là.

  • Viens avec ta bouche souillée de ton sperme.

  • Oui Maitresse.

Elle lui colle son nez sur ma chatte et le voilà qui me lappe le devant tandis que Justine reprend le hostilités avec mon derrière. Mon corps se cabre. Monsieur me serre la gorge:

  • Regarde moi! Regarde moi!

Ca m oblige de faire un effort de concentration.

  • Je veux que tu me regardes quand tu jouis.

Je suis en prise, électrique. Monsieur se branle frénétiquement.

  • Regarde-moi!

Je perds pied entre les deux bouches qui me dévorent. L'orgasme me... Me.... Oh non de Dieu... Ohhhhhhhhh!!!!!.....

Monsieur a projeté toute sa semence sur mon visage.

Justine force Max à nettoyer mon visage. Monsieur m'ordonne alors de lui rouler une pelle pour le remercier. La bouche de Max a le goût mêlé de son sperme, de ma cyprine et de la liqueur de Monsieur. Je suis épuisée.

Jamais je ne me serais crû capable d'une baise à plusieurs, encore moins avec une femme. L'homosexualité féminine ne m'a jamais attirée, bien au contraire. Et je pense que si on me demandait maintenant de réitérer une expérience avec une femme, je refuserais.

Justine et Monsieur boivent un dernier café tandis que Max et moi reprenons nos esprits à genoux à leur côté dans l'attente d'un ordre nouveau.

J'avais oublié que le moineau de mon alter-ego était encage, le pauvre!!!

Justine prend congé. Elle me saisit le minois et force ma bouche pour me rouler un patin d'enfer:

  • A une prochaine catin!

  • Oui Madame.

"Madame", Ca m est venue tout seul alors que je la connais depuis plus de dix ans. Enfin je ne la connaissais pas tant que cela en fait!

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